Surrealismo en MUNAL 2012
Surrealismo - MUNAL 2012
Artaud&Cantu
Los Años que vivimos en Paris

Artaud&Cantu
Los Años que vivimos en Paris

Entre sus
ponencia recordamos :
En
2006 Cien años de Luis Ortiz Monasterio
2007
Federico Cantú Un Clásico en la Modernidad
2008
Conversando sobre el arte de la Estampa - MUNAL
2009 El Atelier
de Emilio Rosenblueth y Luz Fabila 1940
2011 Memoria
Mural de Federico Cantú - III Encuentro Mural
2012 El
Circo en la Vida Pasión y Muerte de Arlequín - CENIDIAP 2012
2012 Los A que
vivimos en Paris Artaud y Federico Cantú
- III Encuentro Mural
2012 Vida
Pasión y Muerte de Arlequín - Cuarto Encuentro Interncional de Pintura
Mural 2012
2013 Casa de
Espania - Federico Cantu y Alfonso Reyes de Montparnasse a Mexico
2013 UANL / La
obra de Federico Cantu en la UANL
Les Années
folles commencent en 1920 et se terminent en 1929 avec le début de la Grande
Dépression.
À Paris, pendant la Première Guerre mondiale, la population n'a pas perdu l'art de s'amuser. On fit la fête au début pour se moquer de l'ennemi et se donner du courage : il allait prendre une belle raclée qui laverait l'affront de 1870 et ferait oublier la honte de l'affaire Dreyfus pour l'armée française disait-on. On poursuivit la fête ensuite, pour distraire les permissionnaires. Puis, quand trop d'horreurs eurent enlevé aux « poilus » l'envie de rire, la fête continua pour se consoler.
À Paris, pendant la Première Guerre mondiale, la population n'a pas perdu l'art de s'amuser. On fit la fête au début pour se moquer de l'ennemi et se donner du courage : il allait prendre une belle raclée qui laverait l'affront de 1870 et ferait oublier la honte de l'affaire Dreyfus pour l'armée française disait-on. On poursuivit la fête ensuite, pour distraire les permissionnaires. Puis, quand trop d'horreurs eurent enlevé aux « poilus » l'envie de rire, la fête continua pour se consoler.
Après la fin du
conflit, une génération nouvelle rêve d'un monde nouveau et proclame « Plus
jamais ça ! ». On s'empresse de lui proposer de nouvelles griseries sur fond de
musique. Venu d'Amérique avec les Alliés, le jazz fait son apparition mais également
la danse, la radio et les sports, les industries avec les électroménagers etc,
sur fond de très forte croissance économique...
L'utopie
positiviste du xixe siècle et son crédo progressiste font place à un
individualisme déchaîné et extravagant. André Gide et Marcel Proust donnent le
ton littéraire de cette tendance qui s'exacerbe et croît avec le mouvement dada
dont Tristan Tzara publie le manifeste. Le surréalisme d'André Breton n'est pas
Montmartre, tout d'abord, constitue l'un des centres
majeurs de ces lieux de rencontre entre ces intellectuels. Le quartier présente
un aspect de modernité avec l'existence de trompettistes comme Arthur Briggs
qui se produit à l'Abbaye. Mais pour l'écrivain américain Henry Miller comme
beaucoup d'autres étrangers d'ailleurs, le carrefour Vavin-Raspail-Montparnasse
est selon ses propres mots « le nombril du monde ». Il y est d'ailleurs venu
écrire sa série des Tropiques.
loin. L'Art
nouveau foisonnant, fauché par la guerre, cède la place aux épures précieuses
de l'Art déco.
Durant les Années folles, Montparnasse et Montmartre sont sans conteste les lieux de Paris les plus célèbres et les plus fréquentés, abritant ses prestigieux cafés tel la Coupole, le Dôme, la Rotonde et la Closerie des Lilas ou les salons comme celui de Gertrude Stein rue de Fleurus.
Durant les Années folles, Montparnasse et Montmartre sont sans conteste les lieux de Paris les plus célèbres et les plus fréquentés, abritant ses prestigieux cafés tel la Coupole, le Dôme, la Rotonde et la Closerie des Lilas ou les salons comme celui de Gertrude Stein rue de Fleurus.
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